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 I closed my mouth and spoke to you in a hundred silent ways.

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Agathe Baudelaire

Agathe Baudelaire

☆ INSCRIT DEPUIS : 28/10/2016 ☆ MESSAGES : 24 ☆ DISPO RP : LIBRE A 100%
☆ AGE : 40
☆ METIER : Assistante sociale


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MessageSujet: I closed my mouth and spoke to you in a hundred silent ways.   I closed my mouth and spoke to you in a hundred silent ways. EmptyMer 2 Nov - 9:19

Andrew & Agathe
I closed my mouth and spoke to you in a hundred silent ways.


La pluie claquait contre la vitre froide du bureau de l'assistante sociale. Sur son bureau se trouvait son ordinateur portable, un café au lait d'amande et une pile de dossier dont l'un en particulier et ouvert en face d'elle, celui d'un enfant, Andrew Bendis. Il était presque vide, on ne savait pas grand chose de ce pauvre petit car il avait décider de se terrer dans le silence.
Agathe s'inquiétait énormément pour Andrew. Malgré de nombreuses tentatives, le petit garçon semblait préférer s'adresser à son ours en peluche plutôt qu'à un être humain. On pourrait penser qu'il ne s'agit que d'un ami imaginaire, mais la jeune femme se demandait si ce n'était pas un moyen de se confier sans que cela ai de conséquences.Peut être refuse-t-il d'accorder sa confiance aux adultes. Elle n'en savait rien.Tout ce qu'elle pouvait confirmer,c'est que ce silence devait renfermer un secret qui provoque surement en ce pauvre garçon un énorme mal être.
Agathe avait vécu ce genre de chose dans le passé, suite à son agression, elle n'avait pas trouver la force d'en parler, sans doute la honte, l'impression que c'était de sa faute, mais c'était faux. Il faut qu'un enfant comprenne que les choses qui arrivent ne se produisent pas spécialement à cause d'eux. Que parfois on ne peut rien faire contre ça. Il faut qu'ils comprennent qu'il faut en parler, qu'ils ont besoin de soutient, le soutient d'un adulte dont les actes pourront avoir un impact sur leur guérison et la voie vers l'acceptation.
Malheureusement pour elle, c'était facile de dire ce genre de chose lorsqu'elle ne savait pas de quoi il s'agit.

La brune se leva et prit son dossier avec elle ainsi qu'un petit emballage. Il fallait qu'elle retourne voir Andrew et qu'elle essaye de le faire parler. Il faut qu'elle sache ce qu'il s'est passé pour être traumatisé au moins de se plonger dans un mutisme. Pour son propre bien, pour lui permettre d'avancer et peut être de trouver une nouvelle famille, même si au jour d'aujourd'hui c'était beaucoup trop tôt il fallait y penser parce qu'il ne pourra pas rester indéfiniment à l'hôpital, et a vrai dire elle n'a pas vraiment envie de l'envoyer dans un foyer. Non pas qu'elle était contre ce genre d'endroit mais tout de même, généralement les adolescent sont très difficile là bas, et un enfant fragilisé peut être victime  de ces jeunes au comportement toxique,que ce soit par du harcèlement ou même en se laissant influencer.

L'assistante sociale poussa un long soupir, elle détestait ce genre de situation où les issues n'étaient pas les meilleures pour le bien être de ses patients. Bien évidemment elle savait qu'elle ne pouvait pas apporter le meilleur pour tout le monde,que parfois il faut accepter le fait qu'il n'y a rien d'autre à part un cul de sac. Quand on est formé dans ce genre de métier,la première chose qu'on veut te faire rentrer dans le crâne c'est bien ça,mais aussi le fait qu'il faut le plus souvent savoir mettre ses sentiments de coté pour éviter de trop s'attacher. Et pour Agathe ce dernier point est encore à travailler. Il lui est déjà arriver de pleurer au départ d'un enfant, ou de cogner les murs quand elle ne trouve pas la solution favorable à son bien être. Malgré sa grande patience, elle est encore un peu trop sensible. Heureusement elle arrivait toujours à se cacher quand cela arrivait,parce qu'il fallait qu'elle fasse preuve de professionnalisme devant les autres.

Peut-on vraiment la blâmer pour ça ? Elle est altruiste et désire offrir un monde meilleur à chacun,on ne peut pas en vouloir à quelqu'un comme elle, si ?

Elle arriva dans la chambre, offrant un grand sourire à Andrew qui était réveillé. Elle entra et vint s'asseoir à coté de lui,posant son dossier sur la table avant de lui tendre son petit emballage.

«C'est du chocolat, je pense que des sucreries ça te fera plaisir. C'est exceptionnel, j'en donne pas forcément aux autres, alors c'est notre petit secret, d'accord ? »

Elle attendit qu'il le prenne puis elle posa son regard sur son ours en peluche qu'elle salua comme si il s'agissait d'un être vivant. Elle savait que certains enfant appréciaient que les adultes rentrent dans leur jeux.

«Comment vas-tu aujourd'hui Andrew ? Veux-tu bien me parler ? A moins que tu préfères qu'on joue à un jeux ? Sinon je peux parler à ton nounours, il en sait des choses lui n'est-ce pas ? »



Andrew Bendis

Andrew Bendis

☆ INSCRIT DEPUIS : 02/05/2016 ☆ MESSAGES : 36


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MessageSujet: Re: I closed my mouth and spoke to you in a hundred silent ways.   I closed my mouth and spoke to you in a hundred silent ways. EmptyDim 6 Nov - 11:04

Andy ne parlait toujours pas, enfin c'était ce qu'il faisait croire, car en faite il s'était attacher à une infirmière Olena. Ils s'étaient rencontrer lors d'une des fugues d'Andy suite à un cauchemar. L'enfant l'avait alors aperçut dans la salle de repos de la femme et instinctivement il s'était vraiment attacher à elle. Cette femme était la seule avec qui Andy s'autorisait des moments d'affections. Il lui parlait de son ours, des bonbons cacher dans l'ours et lui avait parler du Croque Mitaine. Cependant il n'avait pas encore parler de ce qui s'était passer chez lui. La police avait une idée, mais tant que l'enfant ne parlerait pas, se serait difficile de tout savoir. Ils savaient que c'était le beau père qui avait fait cette tuerie, étant donner que le père biologique d'Andy avait mit fin à tout ses droits parentales en abandonnant son enfant. Andy était donc devenue pupille de la nation.Le petit bonhomme n'arrivait pas à parler de ce qui s'était passer. Du fait que son frère l'avait protéger, tout comme leur chien, et que l'homme avait tuer leur mère en lui tirant dessus, et qu'ensuite il avait battut si fort le grand frère de Andy que celui-ci n'avait pas put tenir et avait succombé aux coups portés. La police savait tout ça, mais ils n'avaient aucune preuve, ce qui énervait fortement les agents. Car sans preuves, ils ne pouvaient pas renvoyer ce monstre en prison. Et ils savaient très bien que tant que Andy ne parlerait pas, personne ne pourrait faire quoi que se soit.

Quand la femme arriva dans la chambre de l'enfant, il était en train de dessiner. C'était habituelle. Il n'avait pas grand chose à faire d'autre. Il passait tout un tas d'observation, afin de voir si les coups porter par l'homme, lors de sa précédente visite chez les Bendis avaient finit par bien cicatriser. Il fallait aussi s'avérer qu'il allait bien psychologiquement, mais ça, seule cette personne pouvait le voir. Andy savait que si il sortait d'ici sa vie deviendrait un véritable enfer, car Il pourrait venir n'importe quand...comment il le savait ? Il lui avait dit ! Il était venu ! Il l'avait vue. Et il avait faillit le tuer. Heureusement l'hopital possède pas mal de personnel et personne ne se retrouve jamais seul. Le petit garçon gardait ça pour lui, il avait bien trop peur qu'il revienne le voir et qu'il le tue. Le Croque Mitaine était fort...Le dessin qu'il était en train de faire représentait une fenêtre, avec une grande ombre noir avec des points rouges. Aux yeux d'Andy il s'agissait de son beau père, mais c'était assez difficile de comprendre ses dessins vus qu'il ne parlait pas. La femme lui donna du chocolat. Andy hésita, il regarda son ours, et hocha la tête positivement. Il coupa le chocolat en deux et en posa un bout devant sa peluche, qui possédait un bandage à l'un de ses bras. (il avait été opérer pour cause de cassure au niveau des coutures, ce fut un moment très intense pour Andy.) Puis la femme lui demanda si il voulait bien lui parler aujourd'hui. Il fit directement un non de la tête. Il ne fallait pas qu'il parle. Il viendrait se venger, encore. Elle continua en demanda si ils voulaient faire un jeu. Pourquoi pas? Et elle demanda si elle pouvait parler à l'ours. Andy le regarda et fit un non de la tête en fronçant les sourcils. Son ours possédait tout un tas de secret, et notamment le plus important, il avait des réserve de nourritures dans son ventre, enfin nourriture, disons qu'il avait un bon paquet de bonbons dans le ventre, qui allait bientôt être vide, vu que Andy ne mange presque que ça depuis son arriver à l'hopital. Andrew arrêta de dessiner et attendit qu'elle lui propose le jeu. Il posa sa main sur la sienne et la retira immédiatement, comme pour l'inciter à lui expliquer le jeu.

[hs : j'espère que ma réponse te plait :/ ]
 
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